iti 2014

Journal de bord 2014

Préparation du bateau avec Noël entre le 18 et le 19 juin jour de la mise à l’eau. Strat du dessous du bulbe dans le travelift. Le winch de grand-voile (roof) est bloqué, le robinet de la SDB fuit, il va falloir le changer ; le réducteur où se visse la douchette est fendu dans le sens de la longueur et impossible de retrouver le même. Changer un robinet pour un autre à prix d’or juste pour un petit machin en laiton cassé, ça agace un peu (beaucoup ?). Quant au winch bloqué, il va falloir faire une trappe dans la cabine arrière-tribord pour y accéder et le démonter. Pourquoi ne l’ai-je pas prévue en construisant le bateau ? Allez passez-moi la boîte à claques…
Finalement départ de PSLDR lundi 23 et stop à la Couronne pour une petite visite improvisée à J. Jacques et Odile. L’occasion de se rendre compte que les cônes du guindeau sont complètement grippés et que le lanceur du moteur de l’annexe est coincé. 2014 année du blocage…

Mardi 24  juin
En route pour un stop au Frioul pour réparer tout ce bordel et laisser passer les orages de la nuit. Joli bord de près.

Mercredi 25  juin
Réveillés à 5 h du mat par un son et lumière, la pluie et le vent qui va avec. On double les aussières et verrouille les capots restés ouverts.
Départ vers 12 h pour la Ciotat. Sud-ouest sympa.

Jeudi 26  juin
Départ pour les Embiez en fin de matinée. Toujours du sud-ouest. Mouillage dans pas mal de vent derrière le seul bateau sur ancre. Curieusement, plus je lâche de chaîne, plus celui-ci se rapproche de notre étrave. En fait, il est tout simplement en train de déraper. Et personne sur le pont ! S’ensuit une manœuvre particulièrement délicate pour récupérer notre mouillage qui se soldera par un léger toucher des pare battages de ce voilier très indépendant dont les occupants finiront enfin par sortir, éberlués. On se pose finalement très loin de lui. En fin d’après-midi le vent continue à monter et nous commençons à chasser sur ce fond d’herbes peu accrocheur. Nous décidons de retourner à la Ciotat. La journée ayant commencé assez bizarrement, il n’y avait donc aucune raison qu’en hissant la trinquette, le support de radar, sûrement sur une vague un peu plus dure que les autres, ne se casse net, renvoyant le radôme aux lois de l’apesanteur. Heureusement, maintenu par son fil, l’engin pendouille de façon menaçante côté gite. Je finis d’établir la trinquette en faisant des incantations pour que la chose reste en place, et surtout ne me tombe pas sur la tête, sous l’œil inquiet de Noël à la barre.
Changement de plan et cap sur Bandol où l’on trouvera un trou de souris pour se garer, démonter le radôme, bloquer le fil en sortie de mât et se remonter le moral dans un petit restau.

Vendredi 27  juin
Départ matinal pour La Ciotat au moteur où il est prévu de récupérer Eric et son fils Aymeric. Après consultation de la météo qui annonce pour le lendemain du sud-est, décision est prise de retrouver nos invités à Hyères où les possibilités seront plus grandes que vers Marseille. Navigation très sympa dans un sud-ouest musclé qui nous fera avaler les 33 miles en 4 h 30 avec un surf à 9,5 nœuds. Arrivée des visiteurs vers 21 h.

Samedi 28  juin
Cap sur Port Man en milieu de matinée. Joli bord de prés dans peu de vent jusqu’à la hauteur de Brégançon. Mouillage pas trop bondé. Repas, farniente, repas.

Dimanche 29  juin
Matinée pluvieuse et coup de vent de nord-ouest prévu pour la nuit prochaine. Retour en fin de matinée au mouillage de Hyères. Nos invités repartent pour St-Nizier en fin d’après-midi. Nuit agitée. 30 nœuds.

Lundi 30  juin
On ne bouge pas. Le coup de vent continue.

Mardi 1er  juillet
Mouillage à Alicastre sur Porquerolles.

Mercredi 2  juillet
Retour sur la Ciotat. Vent d’est autour de 17/18 nœuds. Mouillage devant la Madrague des Lecques bien protégé de l’est.

Jeudi 3  juillet
Farniente, balade dans la Madrague, petit port sympathique. Carole arrive demain. On prépare le bateau pour le coup de vent de la nuit prochaine.
Le vent se lève vers 21 h.  25/30 nœuds rafales à 35. On décide avec Noël de faire des quarts. Bonne décision car vers 1 h du matin 2 bateaux dérapent. Bien sûr, un des deux décide de replanter sa pioche juste devant nous. Une demi heure plus tard son tableau arrière s’est très malicieusement rapproché de notre étrave.  Apparemment, nous ne sommes pas en présence d’anxieux ; malgré leur premier dérapage, tout le monde dort.  Projecteur et grands cris pour réveiller les bienheureux. Finalement, le bateau baladeur, curieusement un Atoll comme celui qui nous est tombé dessus aux Embiez (peut-être le même ?), après deux autres tentatives d’accrochage quitte le mouillage. On les plaint sincèrement.

Vendredi 4  juillet
Le coup de vent se poursuit. Ciel chargé et menaçant.
Arrivée de Carole et départ précipité de Noël pour cause de menace d’orage. On va mouiller à la Ciotat.

Samedi 5  juillet
Courses. Nicole vient manger au bateau le soir.

Dimanche 6  juillet
Récupération de Franck, Catherine et leurs enfants au port de la Ciotat. Mouillage à la Madrague des Lècques. Très rouleur toute la nuit.

Lundi 7 j uillet
Visite des Calanques. Repas de midi à Morgiou. Coup de vent de nord-ouest fort annoncé pour la nuit, on se met au port de la Ciotat. Effectivement à 3 heures du matin les hostilités commencent.

Mardi 8  juillet
Franck et sa famille quittent le bord. Le vent se déchaîne toute la journée. Rangement, repos.

Mercredi 9  juillet
Le coup de vent se poursuit. 30 nœuds dans le port, 50 dehors ! Arrivée de Flo dans la soirée. Repas du soir chez Nicole qui vient nous chercher en voiture et nous ramène au bateau vers minuit. Pas d’amélioration en ce qui concerne la météo.

Jeudi 10  juillet
Ça souffle fort. Lessive, courses, vidange de l’inverseur et du moteur hors bord.

Vendredi 11  juillet
Une trêve semble se profiler. On quitte la Ciotat vers 9 h. Gros creux, sans doute plus de 2 m et 30 nœuds dans les claques. Arrivée à Port Man vers 15 heures.

Samedi 12  juillet
On quitte le mouillage en début de matinée pour aller faire du GO au Lavandou. On file ensuite vers le cap Taillat. Petite brise portante.

Dimanche 13  juillet
Taillat-Antibes. Sud-ouest léger (12/15) nœuds. On sort le spi et on le garde 3 heures. Mouillage devant les ramparts. Déconnage du gestionnaire de batteries (impossible d’enlever des alarmes fictives), le HB de l’annexe à le lanceur bloqué et pisse de l’huile. On remet (momentanément) le lanceur en état mais le capot est de plus en plus en plus destroyed malgré les patchs d’epoxy. Et un neuf coûte plus de 300 euros ! J’avais fait une recherche au printemps, ils sont fous, un tiers du prix du moteur pour ce bout de plastique…
On décide donc de trouver un autre HB, celui-ci ne passera pas l’été. Et sans annexe motorisée la vie de mouillage devient difficile. À Villefranche il y a un ship qui fait Honda (dixit le Bloc marine). Peut-être a-t-il un 2,3 CV en stock et pas trop cher. On verra ça mardi car demain c’est férié. Joli feu d’artifice le soir.

Lundi 14  juillet
Antibes-Villefranche tout à la voile. Mouillage devant le port. Joli feu d’artifice.

Mardi 15  juillet
On fonce chez le ship. Super, il a un moteur. Un 2,3 comme on veut. Plus léger que le Tohatsu et sans refroidissement à eau. Déja soldé, la shipwoman me fait 15 % suplémentaires de remise. 800 euros tout de même ! Et pas du tout prévus dans le budget de l’été. On stocke l’ancien moteur dans un coffre, peut être intéressera t-il quelqu’un pour quelques euros…

Mercredi 16  juillet
Départ à 5 heures pour Calvi. Tout au moteur. Pas de vent, pas de dauphins, pas de baleines et pas de poissons pêchés. Arrivée à 17 h 30. Mouillage dans la baie de la Revellata.

Jeudi 17  juillet
Revellata-Galeria. On tire des bords dans peu de vent. Puis moteur. On se met un peu au nord du mouillage. Un seul bateau.

Vendredi 18  juillet
Galeria-Roca marina près de Cargèse. Quasi-tout a la voile. On tire des bords pour passer Cargalu puis un petit nord-ouest nous permet de sortir le spi. Roca marina est un mouillage sympa. Peu de bateaux.

Samedi 19  juillet
On ne bouge pas. Baignades. Enfin !

Dimanche 20  juillet
Roca marina-Ajaccio. D’abord un grand bord de reaching pour rejoindre le cap Feno puis moteur ou presque jusqu’à Ajaccio. Orages, pluie, mouillage encombré. Mais on n’est pas loin du supermarché.

21, 22, 23  juillet
On laisse passer un coup de nord-ouest et on récupère Mélissa le 23 au soir. Mouillage pas toujours confortable au fond de la baie pas loin du terminal à méthaniers. On répare le feu de nav moteur et de pont qui avait reçu le radôme ainsi que le feu de mouillage dont l’ampoule à leds était grillée. On change aussi les parties cassées de l’échelle de bain (trouvées dans le AD local) qui se détruiront sûrement dans pas longtemps vu la médiocre qualité de ces pièces en plastique. On fait 90 l d’eau sur un ponton près des travelift. Et on regarde passer les canadairs… au ras des mâts. Sont un peu allumés les pilotes corses.

Jeudi 24  juillet
Petite brise portante et mouillage à la pointe Sénétosa (guglio blanco). Très sympa. Petit bonjour à Nicolas en cours de charter.

Vendredi 25  juillet
Les Gribs ne ressemblent pas vraiment à la réalité. Pas de vent annoncé alors que l’on tire des bords dans 16 nœuds de sud-est et une mer qui commence à se former. On s’arrête à Chevannu. Les filles en ont marre…

Samedi 26  juillet
Départ vers 8 h et au portant pour les Lavezzi. Mouillage évidemment encombré mais on arrive à se garer dans la cala Lazzarino. Vers 14 h le vent monte du sud-ouest. Les gribs prévoient du ouest-nord-ouest 15 nœuds. 16 h, rafales à 25 nœuds, clapot qui devient fort la nécessité d’un plan B devient pressante. On dégage sur Sant Amanza. Un petit bout de génois déplié et des pointes à plus de 7 nœuds…
Bon abri sur la côte nord-est de la baie.

Dimanche 27  juillet
On ne bouge pas.

Lundi 28  juillet
Départ vers 6 h pour passer les Bouches avec pas trop de vent. GV 1 ris et trinquette. 25 nœuds vers les Lavezzi. On tire des bords jusqu’à Campomoro. Mouillage encombré dans 20 m d’eau et très restreint depuis que les locauxs se sont approprié l’abri. Pluie dans la nuit avec un peu de vent. Autour de nous, ça chasse…

Mardi 29  juillet
Une grosse houle est prévue pour le lendemain avec du vent. On décide de rentrer sur Ajaccio, seul endroit vraiment protégé de la mer dans le secteur.

Mercredi 30 juillet
Lavomatic le matin sous une pluie torrentielle. Démontage des pompes à pied eau douce et mer l’après-midi.

Jeudi 31  juillet
Anniversaire de Mélissa. Bidonnage eau douce. 150 l. Récupération de Pascale et Bernard.

Vendredi  1er août
Flo et Mélissa prennent leurs avion. Avitaillement, 50 l de GO, le plein d’eau en bidonnant. Départ pour Sénétosa. Moteur, mouillage calme.

Samedi 2  août
Direction la Sadaigne. Pointe Testa, cala Spinosa. Prés dans peu de vent, on finit au moteur. Orages assez violents dans la nuit.

Dimanche 3  août
Petite traversée sur les Lavezzi. Mouillage encombré. Nuit calme.

Lundi 4  août
Go to Pinarellu. Tout à la voile en tirant des bords de largue sous spi. Journée sympa. Vent autour de 8/9 nœuds. On mouille vers les corps morts. Nuit tranquille.

Mardi 5  août
Grosse tirée tout au moteur jusqu’à Erbalunga. 70 miles. Super village et mouillage agréable quoique un peu rouleur. Un peu d’avitaillement à la supérette locale.

Mercredi 6  août
Remontée sur Macinaggio pour faire du Go. Pas possible d’attendre en faisant des ronds dans l’eau. Trop de circulation. On mouille devant et on bidonne. 100 l. Mouillage à Barcaggio devant Giroglia.

Jeudi 7  août
Grand largue jusqu’à Saint-Florent. Courses. Concert latino le soir depuis le bateau.

Vendredi 8  août
Vent faible portant pour rejoindre l’Île Rousse. Courses. Mouillage tranquille.

Samedi 9  août
Mouillage à la Revellata. Baignade.

Dimanche 10  août
Pascale se fait piquer par une méduse. Elle a le front salement amoché. Mouillage à Focolara à côté de Scandola. Plein de poissons. Carole plonge pour dégager l’arbre et l’hélice des restes d’un filet. Maudit pêcheurs…

Lundi 11  août
Mouillage dans la calanque de Piana. Grotte avec salle à visiter avec l’annexe. Palme et tuba.

Mardi 12  août
Départ très matinal pour cause de houle inconfortable d’ouest. Encore un coup de vent dans le golfe du Lion. Vent du sud. On tire des bords pour rejoindre Roca Marina où l’on sera un peu protégé.

Mercredi 13  août
Roca Marina-Ajaccio. Moteur !

Jeudi 14  août
Départ de Pascale et Bernard. Ménage, avitaillement, 6 allers et retours jusqu’au port pour bidonner de l’eau, bricolage… Toujours pas moyen de rentrer dans le port d’Ajaccio même une demi-heure pour faire de l’eau. Un petit bakchich pourrait-il aider ? Arrivée de Véronique en soirée.

Vendredi 15  août
On finit l’avitaillement. Coup de vent sur le golfe du Lion et Corse. Le mouillage est bien abrité.

Samedi 16  août
Arrivée de Corinne et Patrice. Mouillage rouleur à Sainte-Barbe le soir.

Dimanche 17  août
Mouillage en face des Sanguinaires vers la pointe de la Parata. La houle s’atténue.

Lundi 18  août
Patrice et Corinne décident de débarquer. Celle-ci n’arrive pas à s’amariner. Des problèmes de santé n’arrangent pas l’affaire. Départ pour Senetosa avec ce qui reste d’équipage. Vent de travers idéal autour de 10 nœuds. Baignade et balade. Véro se fait piquer par une méduse à la main. Heureusement la réaction n’est pas violente. Moins grave que pour Pascale.

Mardi 19  août
Départ pour les Lavezzi. On tire des bords dans une brise assez molle puis à hauteur de Bonifacio calme plat pendant 10 petites minutes jusqu’à ce qu’un violent courant d’air venant de l’ouest nous propulse à vive allure et donc au portant, vers notre destination. Mouillage saturé mais on trouve une place pour se garer. Le vent se stabilise autour de 18 nœuds et le clapot commence à devenir conséquent. Carole et Véro prennent néanmoins le temps d’aller voir les poissons. Vers 16 h nous décidons tout de même de rejoindre San Amanza pour dormir sereinement. Petite pointe à plus de 9 nœuds.

Mercredi 20  août
On quitte San Amanza vers 9 h 15/16 nœuds établis, un grand bord jusqu’au niveau des Lavezzi puis louvoyage pour rejoindre Chevannu alors que le vent monte d’un cran (25 nœuds). Véro va goûter aux joies de la plage. Milieu d’après midi : bruit très rapproché de propulseur d’étrave. On sort voir ce qui se passe. Et on n’est pas déçus. Un gros Bénéteau s’est accouplé avec notre balcon avant et son ancre est prise dans notre chaîne juste sous notre davier. L’animal a chassé décrochant au passage notre ancre en tirant comme un bœuf sur notre chaîne jusqu’à remonter sous notre étrave. Mais sa Delta est toujours coincée ! La situation est délicate car nous avons beaucoup dérapé et les rochers ne sont plus très loin. On met le moteur en marche puis j’essaie de décoincer son ancre de notre chaîne avec la gaffe mais sans grands résultats. Je m’apprête alors à sauter dans l’eau ou dans le zodiac quand un voisin attentif à la scène surgit avec son annexe et nous libère de l’intrus. Ouf ! Merci voisin de mouillage. Plus tard dans la nuit un italien chassera parallèlement à nous. Les insomnies de Carole sauveront ce fort joli ketch du granit corse et j’irai réveiller son propriétaire avant qu’il ne se pose sur les cailloux. Nous en serons remerciés le lendemain par une bouteille d’un excellent vin blanc pétillant.

Jeudi 21  août
Vent fort, on ne bouge pas.

Vendredi 22  août
Louvoyage et mouillage à Porto Pollo

Samedi 23  août
Retour à Ajaccio et repas le soir avec Odile et J.-Jacques également en Corse avec leur joli voilier Salud.

Dimanche 24  août
Véro rentre à Bordeaux. Nous, on attend l’arrivée de Léo pour la traversée retour.

Lundi 25  août
Bricolage, courses, bidonnage d’eau et de gasoil.

Mardi 26  août
Arrivée de Léo dans la soirée.

Mercredi 27 août
Départ d’une zone tranquille vers une où il y a un BMS. On veut rejoindre Calvi d’où il est toujours plus facile de traverser en visant Antibes si c’est la guerre dans le golf du Lion. Et comme la météo est vraiment très changeante cette année, on préfère assurer. Sauf que sur Calvi il est prévu plus de 35 nœuds. Mais comme cela doit s’arrêter dans la nuit prochaine, on y va quand même.
Effectivement, beaucoup de vent. On finira jusqu’à la Revelata avec seulement un bout de génois. Mouillage gravement ventilé durant la première partie de nuit. Ça se calme pendant la seconde.

Jeudi 28  août
Finalement, pas de détour vers Antibes. La fenêtre annoncée semble se confirmer. Départ vers 9 h pour port Cros. On bénéficie pendant 2 h d’un sud/ouest épanoui qui s’évanouie pour laisser la place à une mer très inconfortable sans que nous ne voyions le moindre souffle de l’est promis. Suite de la traversée au moteur. Le dernier tiers s’effectuera sur une mer redevenue calme qui nous permettra de voir plusieurs baleines et quelques dauphins. Arrivée à Port Man à minuit.

Vendredi 29  août
Coup de fil à Navy Service tôt le matin. On peut nous sortir de l’eau le lendemain à 8 h 30. On prend le créneau car un très fort coup de vent est annoncé à partir de dimanche. Comme d’habitude en Méditerranée, il faut battre le fer quand il est chaud. Il est 9 heures, on remonte le mouillage direction PSLDR. Un petit crochet par la Ciotat pour poser Léo et arrivée au pays des moustiques à 21 h.

Samedi 30  août
Sortie de l’eau et fin de la saison 2014.